Suite à l’annonce de Maria-João Pires de mettre fin à sa carrière, le concert du 24 avril 2026 est annulé.
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MOZART, SCHUBERT
Suite à l’annonce de Maria-João Pires de mettre fin à sa carrière, le concert du 24 avril 2026 est annulé.
Si vous avez déjà acheté vos billets, ils pourront être :
- reportés sans supplément sur le concert du 24 novembre 2025 avec le Münchner Philharmoniker dirigé par Tugan Sokhiev (plus d’informations sur ce concert : https://www.grandsinterpretes.fr/concerts/munchner-philharmoniker/)
- reportés sur un autre concert de la saison 25/26
- transformés en avoir à utiliser pour un prochain achat de places ou abonnements
- remboursés par virement bancaire en envoyant votre RIB
Vous pouvez également faire don de vos places en échange d’un reçu fiscal (réduction d’impôt de 66% du montant du billet, dans la limite de 20% du revenu net imposable).
Merci de nous faire connaitre votre choix par mail à l'adresse : rpagnini@grandsinterpretes.com avant le 31 janvier 2026.
Maria João Pires et Marc-André Hamelin dans Mozart et Schubert ! Qui aurait pu imaginer que ces deux immenses artistes partagent la scène tant leurs répertoires diffèrent ?
Mozart, Schubert et Chopin composent le cœur du répertoire de la pianiste portugaise. Son art du chant porté par un toucher d’une clarté et d’une délicatesse inouïes sont reconnaissables. Le caractère intimiste de ses interprétations dont les concerts et la discographie nous ont légué des instants magiques en témoignent.
De son côté, le pianiste canadien Marc-André Hamelin possède l’un des plus grands répertoires que l’on puisse imaginer. Inlassable découvreur de compositeurs parfois négligés, d’œuvres nécessitant une virtuosité prodigieuse, il ne renonce jamais aux défis les plus étonnants. Son immense catalogue qui couvre trois siècles de musique est l’un des plus fascinants qui soit.
Les deux artistes aux parcours en apparence éloignés s’admirent profondément parce qu’ils cherchent sans cesse à approfondir leurs lectures, à faire oublier une virtuosité transcendante, cette virtuosité dont l’origine du mot est « vertu », c’est-à-dire un ensemble de qualités humaines qui dépassent toute forme de technique. Réunis tous deux devant le clavier, les deux musiciens qui admirent les interprètes du passé reprennent ainsi à leur compte la formule d’Alfred Cortot : « Un art qui se réclame de sa technique seule est déjà condamné »
Ce concert est la promesse d’une rencontre magnifique.
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